Étinérence dans le departement

Bon pour etre franche, j'ai toujour été intriguer par les portes fermées et les secrets! Disont aussi que sa ma causer certain probl`me. Mais il reste inévitable que je fouille pour ma seule culture personelle. Donc lorsque je vu cette porte métalique qui était fermer et barrée avec des systemes tres sofistiqués, je ne put que vouloir savoir ce qu'il y avait derrière. C'était inivitable. Donc je fit un tour d'horizon pour trouver les caméra et autre systeme de sécurité. 16 caméra, 30 détecteur de mouvement, 18 sisteme de presion sur le sol et 40 laser de proximiter. Houff... un peut dure la sécurité; -_-*. Je me mit donc dans un angle mort des caméra car oui il en avait oublier une, hi hi hi. Utilisent mon ordianteur de poche; que javais au péalable reconfigurer pou pouvoir passer par le reseau quad-bande utiliser par le system, je me mit donc a reprogramer les serveur d'enregistrenent pour me lesser une fenètre de 30 minute pour explorer cette parti du labo que je n'avais jamais vu. Je franchi donc les porte comme une voleuse! Il va s'en dire qu'on pouvait facilement me confondre avec un scientifique de ce département; étant moi aussi docteur, j'avais un sareau blanc avec au col l'insigne, en argent brosser, du corp de médecine militopique. Javais mes lunette et les cheveux coifer en chignon. Sous mon sareaqu javais une pert de pantalon de combat, c'était ceux standard dans les forces : le digi-path. J'avais aussi le chemisier réglementaire. Seulement mes carte de sécuriter m'aurais trahis. Il y avait mon nom mais aussi mon département et ma cote de sécurité qui était de 4; il falait avoir l'acréditation spéciale: soit le 5 pour y entré! Mes bote de combat, des bates, fesait a peine un petit squik en marchant. En fait je trouvais cela bisare car mit a part deux sergent de la police militaire; qui me saluèrent en passent a mon niveau. Du a mes études, jai le grade de lieutenant. Une porte était ouverte avec écrite dessus secteur 16, jamais entendus parlé! Je continua donc ma visite. Je t'onbat sur un labo... rien a voir avec les secteur 4 ou je travaillait: équipement de point dont j'avai vagument entedu parler mais sens plus, ordinateur ultra sofistiquer. Mon dieu!!! Je me suis crut comme le dernier noel que j'ai passer avec mes parents.

* Je me rapelle, il fesais froit et il y avait de la neige partout, mon pere était venu me chercher au collège militaire pour me ramener pour la fete de noel. Exeptionelement c'était une des seule fois ou mon pere et ma mere était réunit. Lorsque ma mere a quiter mon pere sa lui avait fait mal. Ils ne se voillais que pour les jours spéciaux. Puis je me rappelle aussi que losrque nous somme entrer dans l'allé mon pere a eu le sentiment que sa n'allait pas. En effet, lorsque nous parvenurent a la maison elle était détruite et toute notre famille executer la dehord. Le sang maculai la neige. C'est la dernière fois que je vu mon pere en ten que tel!*

Sous le choc que me provocais se souvenir douloureux, je m'éfondra, la seule dans cette salle d'examen. J'était en larme dans cette pièce couper de tout et, sur les genoux, je me rapellait tous se que j'avais perdu. Les larme coulais a flot et moi, prise d'un ocket terrible, merforc'ais a ne pas alerter les gardes. Masi soudain je sentit une présence... un murmure derrière une des cloison. Je mapersut bien vite que c'était des congélateur mortuaire. Un profond frisson me parcourut l'échine. Je sortit donc dans le coridor essaillant de faire disparaitre toute trace de mon chagrin et de paraitre comme mon pere, forte et indestructible. Marcahnt et menfoncant toujours plus loin dans se dédale de couloir je fini par croiser un autre parsone mais malheureusement il me reconut, c'était un des amis d'enfance de mon père; le lieutenant-colonel d'artillerie mobile de campagne non motoriser Leunamé Xuetuacsed. Il m'apostropha en me voillent.

" -Alors la grand, que fait tu ici tu n'est pas suposer travailler au secteur 4? Fit-il, suspicieux.

-C'est vrai, figent penaude, J'ai cracker les code sécuriter et je me sui introduite ici par infration. Mais tu me conais, tu est mon parain apres tout! Tu le sais bien que je usi curieuse! Figent avec une moue qui en ferait fondre la clotte polaire!

-Hummm; que pancerait lierbag de tout sa! Sa petite fille qui viole les loi...

-Vous l'avez fait des centaine de fois! figent sur un ton de reproche.

-Voillon lay tu sais tres bien que moi et ton pere avionresut le commandement expres pour tout ce que nous avion fait. Fit -il un peut aggacer de discuter de dossier confidentiel de niveaux 6 (oui le niveau 6 existe mais es suposer etre ultra secret qu'un poigner de personne .. pouvant ce conter sur les doit de la main, dont Lierbag, arthur, leunamé et bien sure tout les haut oficier militopique, conaissent son existence'), ici, dans le couloir!

-Oui, bon puis-je poursuivre s'il-te-plait??? figent avec ma moue de gamine.

Il ne put que ceder mais dessida de me suivre. Nous continions donc le long de corridor d'un blanc cru éclairer par de sinistre luminère au néon. Soudain le bipeur de Leunamé se mit a vibrer; on avait besoin de lui pour sauver le monde.

CEla me rappelait lorsque mon pere était a la maison, du moin les rare fois, il surveillait toujour les porte et le telephone; sorte de tic nerveux qu'il devait avoir attraper. Il va sens dire que mon pere avait vu de chose que bien peut de gens on jamais vu; pour lui, un fillette qui ses fait dévorer par une créature et qui est éparpiller dans une pièce, c'est d'une banaliter! Ce n'est plus le meme depuis la mort de ma mere. je croit qu'il laimais beaucoup. De ce fait, j'ai aprit hier que j'avais une belle mere! une certaine Chloé... un seule conceille: ne fait pas de mal a mon papa, je peut etre tgres méchante si je veut; je suis tout de meme une Atsissac. La creme de l'évolution génétique humaine, aussi bonne au combat qu'intelligente.

Leunamé me fit la bise puis partit faire son boulaut. Il était tellemnt presser qu'il oublia que j'était dans une zone ou je ne devait pas etre. Je put donc reprendre mon excursion dans les labos. Puis soudain je me rapela la fenetre de temp que javais programer, sortant mon telephone pour vérifier l'échéance, je que le chifre 00:00:01 clignotait! Merde! une alrme asourdisant se fit entendre.

" Intrusion du secteur 16 veuiller vérouiller le departement! fit une voie électronique, A tout le personel bien vouloir se diriger vers le centre de controle principale afin de vérifier l'identi de l'intrut."

Je ne pouvait pas me laisser prendre, cela aurait signifer la fin de ma carière meme pire, peutètre la prison. Je me mit a courir vers là dout je venais et sans regarder derrière moi. Des garde me croisait sans me voir, soudain une voie matira.

"-aller vien ici, tu poura te cacher, ils on peur ici"

J'entra donc dans la dite sale pourme rendre compte que c'était la meme salle dans la-quel javais pleurer a chaude larme. Puis le murmure revint, puis dautre, et enfin la voie claire et net. Elle sélevais d'une des portes de congélateur mortuaire. Puis une légère brise froide puis enfin une silouette blafarde, toute palche mais avec des yeux noir et de longue dent pointu. J'avais peur j'était éffrailler, tellemnt effrayer que jus de la misère a d'égaine mon m-1911 que je portait al a hanche. Je tramblait. Sans bien panser je déjargea mon arme , 12 balle de .45 acp la touchère mais allère produire des étincels sur les congélateurs. La créature saprocahit toujour plus et plus elle moin bien je me senstait elle créait une sorte de malise en moi. Puis soudaint je me mit a pleurer. je me mit en boule les jambe coller a moi et la tete enfoui entre celle ci mon arme était sur le sol la culasse ouverte su au fait que je nevais plus de balle dans larme. Les 12 douilles était autour de moi. La crétaure était maintentn rendu beaucoup trop proche de moi. Elle vien t pour planter ses croc dans ma chair, au niveau du poignet. Sur l'entrefait, deux garde qui avait ententdu le déflagrationarrifèrent et me découvrire et virent le phantome. Lorsque les dent du vampire touchère ma peau. le temp se figea, SAns savoir pourquois je pousas alors un cris de rage asser puissant pour etre entendu dans tout le labo. Un halo de lumière se format autour de moi et une décharge d'énergie pur dématérialisa le spectre mais fit aussi planer les garde sur 6 bon metre, peut`tre plsu si il ny aurait pas eu de mur. Puis je m'évanoit.

Ce qui ses passer entre le temp que j'était dan sla salle jusqua se que je sois assise ici sur une chaise d'un bureau avec une menbre de l ISSA ( les service secret) se trouvent devant moi.

"-Comment a tu fait pour pénétrer aussi lon dans la base sans acréditation jeune fille? Tu n'est pas une peut jeune pour etre une Lieutnant. Qui sont tes complice? Pourquois a tu attaquer les gardes tout a leur?"

Encore groogy par l'énergie que javias dépancer, je ne pouvais que marmoner des mots inconpreencible. J'était au bout du rouleau épuiser a la limite, j'entre vit le menbre du service sercret prendre une machien et la brancher a moi. Un courent de 4000 volt me passa au travers le corp.

"-Alors tu va parler oui ou non.

-Non! je répondit sur une pointe de défi.

Il fit mine de réactiver le courent masi un homme les stoppa.

-Non, sa sufit, c'est la fille de Lierbag atsissac, ete vous donc si stupide? A moin que la mort vous tente!"

Puis je perdi concience.

[ sil vous plait continuer ! ]

Nella était finalement passé chez les militophique. cependant, l'entité ne savait pas trop ce qu'il devait faire en premier. il était entré dans la base. et maintenant? de plus, tout les lieux se ressemblait, selon lui. Nella subissait une grande irritation. de plus, le regard des autres le rendait doublement frustré. il le regardait comme s'il n'était rien, une simple machine, bref, une «chose» quelconque. certains d'entre eux le voyait et s'écartait de son chemin, comme s'ils avaient peur de lui. c'était plutôt une réaction amusante pour Nella. puis, en pensant bien, il se dit qu'il avait des mémoires à remplacer... peut-être qu'un labo pourrait être un bon endroit pour se faire, peut-être, implanter des souvenirs, ou encore, remplacer ces synthétiseur dont un qui ne marchait plus par une bouche et des cordes vocale qui pourrait s'intégrer à son corps. l'ennui, c'est qu'il ne savait pas où c'était... il vit alors un homme. il savais sans doute où se trouvait le laboratoire.

"eeh, toi, là-bas."

l'homme se retourna et arquas un sourcil. il n'avait pas apprécier de se faire appeller ainsi, et, la voix de Nella l'agaçait sans doute. de plus, l'apparence hors du commun de Nella ne le laissait pas indiférent.

"vous désirez?"
"où se trouve le labo de ce foutu bâtiment?"
"pourquoi, il veule t'enfermer parce qu'il t'on trop raté?"
"..."

l'homme rigola un bon coup. il était fier de lui. de son côté, Nella n'appréciait pas du tout. l'insulter n'était pas la meilleur des idées. ses yeux devinrent noir. il attrapa l'homme par le colet et le plaqua au mur. l'entité transforma son bras en épée d'énergie et la plaça sous la gorge de cet imbécile qui avait osé s'adresser à lui de cette façon.

"toi on devrait t'arracher les yeux et te faire fondre le visage. ensuite, on pourrait bien se marrer en te regardant te tordre de douleur sur le sol... tu crois pas? alors. je t'ai poser une question. où s'est le labo?"
"...par... là..."

l'homme pointa une porte. Nella regarda dans cette direction, puis lacha l'homme, qui partit en courant.

"bah. laisse moi pas te remercier. vas pas te plaindre que je suis pas poli après ça..."

il avança vers la porte. cependant, c'était un obstacle. il fallait un code pour passer. c'était plutot une situation facheuse. il regarda l'espece de clavier qui permettait d'inscrire son code. il ne voulait pas perdre de temps. il leva le bras et projetta une décharge électrique. il fut alors déstabiliser, ouvrant la porte d'elle même. Nella n'eut qu'à passer, se fichant bien des caméra. s'il se faisait prendre, alors, soite. il continua sa route, tranquillement, exécutant le même manège à chaque porte, mais ne s'intéressant à rien en particulier. il anvançait, tout simplement, regardant et enregistrant. cependant, quelque chose attira son attention. un peu plus loin, dans l'une des salles, une quantité d'énergie gigantesque ce dégageait. étant lui même fait à la base d'énergie, il était inlassablement désireux d'en connaître la source. alors, il fonça. lorsqu'il arriva, un homme tentait d'arracher des information à une femme. déjà là, le mec n'était rien dans l'estime de Nella. l'entité détestait la torture. de plus, il reconnaissait quelque chose sur la femme. en la regardant, il remarqua qu'elle avait certain traits commun avec un homme qu'il connaissait...

Lierbag Atsissac. il était certain que lui et cette femme avait un lien de parentée. l'entité analysa ses "données". sa soeur? un peu jeune. sa nièce? peut-être, mais l'ADN en commun était trop grande. il se dit donc que ce devait être sa fille...

le géôlier, si on peut appellé ça comme ça, tenta de refaire sa manoeuvre. cependant, cette fois, Nella se rua sur lui, l'empêchant de reposer le truc sur la jeune femme. il agrippa ensuite le colet de l'homme et le leva bien haut dans les airs.

"Non, sa sufit, c'est la fille de Lierbag atsissac, ete vous donc si stupide? A moin que la mort vous tente!"

puis, la jeune fille tomba inconsciente. Nella regarda l'homme.

"j'espère pour toi qu'elle n'est pas morte..."

puis, l'entité entendit des pas dans le couloir. quelqu'un approchait. cependant, Nella ne s'en préoccupait pas. il regarda la jeune femme. tout semblait indiquer qu'elle était en vie. il relacha l'homme pour se pencher sur la victime et regarder si tout allait bien chez elle.

Lierbag arrivait a la course, deux de ses gars sur les talons. Tous était armée et en habit de combat. Leur botte martelait le sol mais ne fesant presque aucun bruit. En fait la semell de leur botte était faite d'un matérieux absorbent la vibration et ce en supriment le son. Lierbag avait un MK-16 SCAR mais modifier avec une nouvelle culasse qui chargait un capsule d'uranium entourer d'hélium3 ce qui, lorsque tirrer, produisait un plasme tres puissant et de longue porter. Les deux autre manbre de l'unité était équiper de MK-4 désignation mk désigne le fait quelle son au plasma). Il fonçais vers les labos. Les yeux de Lierbag était noir de rage, dans le sans noir je veux dire vraiment noir son iris normalment gris bleu était du'un noir de jet. Il restait bouche bé par ce que sa fille avait fait, c'était complétment idiot de sa par. Mais elle avait été élevée comme sa. Il en voulais a Leunamé de ne pas etre rester avec elle mais comprenait que son devoir passe avant tout. Qui plus ait cétait Lierbag qui lavait biper. Il voliat donc au secour de sa petite fille qu'il aimait tant. IL passa lentré en sautant par dessus le poste de sécuriter. Ses homme avait du mal a le suivre. Ils était volontaire pour venir avec le générale. En fait tous avait voulu venir mais Lierbag n'en avait que prit 2. Un chose était sure c'était qu'il y aurait de la casse car le chef de la sécuriter resut un téléphone dans la seconde qui suivit larriver de Lierbag dans le batiment. Des garde furent poster devant la porte pricipale du secteur 16. Tous de simple reserviste malheureusement pour eux et heureusement pour Layla. Lors que lierbag arriva devant les garde il les regarda franchement.

"-Mon général, ne nous faite pas de mal nous somme que la pour protéger le labo. fit le chef du détachement.

- Écoute moi bien si j'aurait voulu te faire du mal tu serait déja mort alors ou est ma fille! Cracha lierbag tel un venin qui fit frémire tous.

- Heu.... j...j...j...je ne peut pas.

-Humm c'est triste ,fit lierbag en épolent son arme suivit de ses équipier, moi je t'ordonne de me le dire.

-mais j...

-Non ta pas comprit, tu répond, pour incister lierbag tira sur le pied du chef; ce dernier tombat a la renverce.

-OK! Ok, il son dans la salle 6. Fit le chef tout en pleurent.

Une des soldat de Lierbag étant spécialiser en soin vin voir le pauvre type. Il mit une sorte de pomade verdatre et lui fit un badage. Puis il rparatire au pas de cource vers la salle 6. Il était foncièrement en furie. Il aurait tuer quiconque se trouvait sur son chemin. Il croisa la salle d'experimentaion. Il vit le .45 de sa fille et les 12 douille. Il entra. Un frison le parcoura. Un murmure lui apparut soudain. Puis une voix distincte.

"-N'ai pas peur, je suis sans défance vien m'aider."

Puis le fin bruillard se materilisa. Le fantome était de retour. Cepandant, elle ne se doutait pas de qui elle avait devant elle. C'était trois des Humains les plus puissant. ILs la dévisagèrent avec méprit. Elle saprocaht de lierbag en ricanant. Il lui sourit, vous saver ce sourir démoniacque qu'il a quand il sprete a tuer; un sourir si calme et serain. Elle aprochait encore et encore. Il pointa un doit vers son front puis la regarda.

"- Tu périra crétaure des ténèbres. Dieu texpira de tes pàcher un jour mais aujourd'hui tu t'en va directement en enfer!"

Un halo de lumière entourait lierbag. Un point lumineux sétait former au bout de son doit. La créature se mit a charger. Lierbag rit. Le point se tranformat en un gigantesque trai de lumière. Ce Rayon pulvérisa 5 mure et détruisit l'ame du fantome a tout jamais. L'action était terminer mais le halo restait la, Lierbag avait accumuler bien plus d'énergi. Ils reprirent leur course. arrivaire a la salle 6. Première réation de Lierbag fut de constater que sa fille était évanouit. Le deuxième fut de voir Nella teant un homme en veston cravate. Lierbag fit le lien rapidement, l'homme était celui qui avait mit sa fille dans le coma. Lierbag l'attrpa et lui décochat un formidable crochet du droit. L'homme traversa le mur de béton et tombat dans le coridor. Le reste des persone dans la pièce était tenut en respect par les deux collègue du Générale. Le halo disparut tranquilement inci que la noirceur dans les yeux de Lierbag. La plupar était a jenous sur le sol maintenent, sauf Nella. Atsissac lui sera la main.

" Merci d'etre venu au secour de ma fille si non, dans quelle état l'auraige retrouver. Tu est une force de la nature extremement unique. Je vais faire une lettre de recomandation pour notre chef. Si tu a des souci avec d'aute militaire réfère toi a moi ou a arthur nous somme la pour sa.

-Aidez moi, on va l'ammener au centre médicale de l'unité. fit une des collègue de lierbag.

Elle la saisit par les épaules. L'autre soldat lui prit les jembe et il la portaire suivit par lierbag. Ce dernier crachat sur le menbre de l'issa qui était inconcien dans le couloir. Lorsqu'il arrivairent au centre de santé Layla fut prise en main par le chef du départemnt medicale de la garde. Apres un test complet elle fut misent dans un chambre de revaille. Lierbag la veilla jusqua ce que...

[ a un ou lautre de continuer... DSl pour les faute et le pas long post]

Le coma est une des sensation les plus étrange que javais érpouver. je revoillais de épisode de ma vie en rafale dans ma tete et je sentait molle. j'entendi mon pere crier mais j'était trop loin et trop bien ici. Je me senti tranporte puis examiner par quelqu'un. Puis je fut mise, probablement dans un lit. Je ne savait pas j'était ou. l'étrange et long reve se poursuivait néenmoin. Puis je revint a la phase ou je me suis batu contre la fome blanche. je me réveilla en sur sault me cabrent a 90o dans le lit d'hopital. Il fesait nuit maintenant avaije passer endormie? Un montre au poignet d'un Homme assit dans une chaise disait qu'il était 3 heure 17 du matin. Lorsque je tenta de me lever pour fuire; panssant que l'homme était un énnemie. Me voillen me débatre dans mes fils il saporchat, C'était mon pere. Il avait viellit. paraissait plus mature que la dernière fois que je lavait vu. Mais il était toujour aussi beau. Il avait son habit de combat standar evec botte, casque et vest porteuse de plaque balistique. Il était meme encore armé. Un medecin fit son entré. Il me dit de me recoucher, de rester calme. Il mexaminat et perplexe me dit que je n'avait rien et ce demanda comment javais bien pus m'évanouir. Je leur parla donc de la créature et de londe que javais procheter. Je sentit comme une seraine apréantion chez mon pere. Cersce juste car il avait eu peur pour moi ou redoutait que jaille resut un don comme le cien. Mon frere, lui, nen avait pas... Il n'avait meme jamais voulu etre dans les militopiques. Il les trouvais barbare et sans pitier; dirent que c'est ses barbare qui l'aurait sauver!

*je dois me trouver dans la section que dirigen mon pere sa doit etre cela.*

" Papa, souflège, j'ai une dette envers celui qui ma sauver. Dit lui tu veut."

Je me concentra pour reprendre mes esprit. je restait calme. Puis un homme entra, du moin ce que je croillait etre un homme.


[Désolé pour le pas long post mais jai pas d'inspiration]

[HRPG: si la tendance se maintient, on aura bientôt du mal à faire dix lignes, on dirait... désolé pour le petit post >.<]

la chose qui les avait attaqué, Nella n'était pas du tout sûr de la percevoir. certes, quelque chose était arrivé. cependant, tout ce qu'il avait senti, c'était des informations sur un environnement anormal dans une certaine zone. dans sa tête, c'était certain. la chose était une entité, comme lui, mais d'un autre type. ses senceur ne la captait pas. c'était frustrant pour lui. une faible signature énergétique, rien de plus. même pas un signe de vie. en fait, ce truc était-il seulement supposé être vivant? l'entité n'en avait pas la moindre idée. cependant, de nombreuses intérogations se formaient dans sa tête.

*d'autre troubles pour une nouvelle vie...*

Lierbag arriva rapidement. ce qui était parfaitement normal, vu l'hypothèse de Nella sur le sujet de la victime, et visiblement, il avait visé juste. Nella ne comprit pas une chose dans les paroles de l'homme. une force de la nature, lui, qui avait été créé en laboratoire, une pure erreur de fabrication l'ayant fait devenir ce qu'il était? cet homme avait donc visiblement du respect pour lui, ou du moins, plus que les autres humains qu'il avait rencontré. lorsque Lierbag et les autres sortirent de la pièce, cela tira Nella de ses pensées. il les suiva donc d'un pas qu'il voulait lent. il réfléchit donc tout le long du trajet. de plus, il connaissait un peu la psychologie humaine. ceux-ci appréciaient bien discuter entre eux, surtout après un évenement tel que celui-ci. mais, principalement, c'était pour réfléchir.

lorsqu'il arriva finalement à l'intérieur de la pièce où Lierbag et sa fille était, la jeune femme était enfin réveillé. elle avait dit quelque chose avant qu'il entre, il ne sut trop ce que c'était. il décida finalement de dire quelque truc avec cette voix si détestable que lui même n'appréciait pas du tout:

"eeh bien, c'est qu'elle vas mieux, la petite. au fait, Lierbag. tu ne m'avais pas dit que... tu avais une fille. ça change pas grand chose, en fait. mais, bon. après tout, on a pas eu vraiment l'occasion de parler. alors? tu nous présente?"

il attendit une réaction. Nella n'était pas du genre à commencer la conversation, en fait, il n'avait jamais été bon en relations. ce qui faisait qu'il préfèrait laisser les autres parler...

[si la tendance se maintien Lierbag va te botter les fesse avec tes truc pessimiste a la con!!!! XD je rigole!!!!]

Lierbag venait de se rendre compte de son erreur de tout a l'heure; Nella avait été créé en labo et non pas par la nature... Lui en voudrait-il? Lierbag en doutait.

"-Nella ma fille voulais te remercier. Elle a une dette d'honeur enver toi. Elle te fera toute les amélioration que tu veut. Elle est spécialiser en nano-robotique et en biomécanique. Quand a moi je me ferait un plasir de te founir les armes a la fine pointe de la technologie militopique. Ah et oui jai une fille,tu la rencontrer aujourd'hui. Elle se prénome Layla et ses ma tite fille adorer. SA fesait un bout de temp que je ne lavais pas vu mais, sa fait du bien de la savoir en sécurité. Maintenent, j'aimerait mentretenir avec elle un bref instant. Tu peut attendre dans le coridor, merci de ta compréantion."

Lorsque l'androide fut sortit, Lierbag fit face a sa fille. Un grand question le tenaillait, Il voulais les détail exa de ce qui c'était passer avec le fantome. Layla les lui redit pour la 3e fois et la enfin son regard changea. Il sasombrit puis devien plus lumineux. C'était prodigieux, c'était vraiment sa fille donc. Elle avait ériter des caratéristique des atsissac. Mistérieusement, elle semblait meme a en avoir une modifier. Elle semblait avoir un bouclier au lieux du poivoir d'attaque. C'était magnifique.

"Ma chérie c'est magnifique. Je ne pansait pas que mes enfants savait ériter de mon don. Tu est unique... Je fais un pacte avec toi; j'amais plus je ne te quiterait je ne te laisserait plus seule sans persone se temp la est fini."

Puis il la sera dans se bras; cose qu'il navais pas fait depuis bien des année. Il était ému. Il permit a Nella de rentrer de nouveau. ET quelq'un sembla sur le point de dire quelque chose.

[manque d'inspi total... désolé]

Nella comprit vite que Lierbag voulait parler à sa fille. Évidemment, il lui avait dit. il comprenait sa réaction, après tout, il était "vivant" et ceux-ci ressentaient le besoin de se parler. La créature bleu n'avait jamais cherché à comprendre pourquoi. En fait, la plupart des sentiments lui était inconnu et le resterait. Alors, à quoi bon chercher à les comprendre. Il se retira de la salle pour quelques temps. Puis, il s'appuya contre le mur. Il repensait à ce qu'avait dit Lierbag au sujet de sa fille, Layla. «Spécialisée en nano-robotique et en bio-mécanique», il avait dit. Si sa fille pouvait lui fabriquer une bouche, ce serait bien. Sans compté ce truc qui lui permettait de gérer son énergie. que ce passerait-il s'il n'en avait plus besoin? Jusqu'à ce jour, Nella avait cru cela impossible. De pouvoir ce débarasser de ce "don" de faire une overdose d'énergie électrique était pour l'entité une chose peu désirable. il perdait la maitrise de son propre corps si cela arrivait. peut-être que cela pourrait aussi être changé?

d'un autre côté, Lierbag lui avait dit qu'il pouvait avoir des armes. à quoi bon? Nella était lui même une arme. En porter sur lui ne serait pas un ralentissement? il ne savait pas trop quoi penser de ça. peut-être qu'une arme pourrait lui être utile...

puis, Lierbag lui permit d'entrer à nouveau dans la salle. Nella ne se fit pas prier. Cependant, il ne parla pas immédiatement des amélioration qu'il aimerait subir. La jeune femme venait d'être durement éprouvée et l'entité ne voulait pas la brusquer. mais à chaque fois qu'il parlais, Nella détestait la voix qu'il produisait. Il ne se gênait pas pour dire un tas de chose, cependant. L'entité se décida finalement à parler:

"alors, elle vas mieux, la fille de Lierbag? enfin, tu as l'air d'aller mieux. C'est déjà ça. Et heu... j'aimerais bien savoir ce qui s'est passé là bas, si ce n'est pas indiscret. j'ai bien détecté quelque chose, cependant, je n'ai rien vu."

il attendit une réponse de l'un ou l'autre.

Le rafistoler? comme... une machine? Les yeux de Nella devinrent plus sombre. Il détestait toujours autant se faire "traiter" comme une machine. Bien qu'il en était une, du moins, c'est ce qui ce rapprochait le plus de lui, il ne s'habituait pas. Il se doutait bien que Layla n'avait pas eu l'intention de l'offencer. Puis, L'entité vit la jeune fille s'écraser au sol. La cause était tous ces cables qui la reliait aux nombreuses machines qui, pour Nella, semblaient quelque peu inutile. Peut-être ne l'était-elles pas pour les humains? Bref, pour l'instant, cela ne le préoccupait pas vraiment. Il pensait à la proposition de Layla. De quel réparation avait-il besoin? Nella ne voyait qu'une seule chose pour le moment : une bouche. Il en avait assez de ces synthétiseur vocal qui ne marchaient que lorsque cela leur chantaient. L'entité repensa alors à son gros trou de mémoire qu'il avait volontairement fait. Peut-être que ce serait bien de lui donner une raison d'être.

"Sans vouloir vous brusquer... j'ai quelques idées. À commencer par me donner une raison d'être. Comme mon but précédent est décédé, je crois bien qu'il m'en faut un autre. Et puis, j'en ai marre de ces deux trucs qui font des bruits, mais qui font jamais le bon. Mon créateur m'as légué un semblant de corde vocal, mais n'as... hm... enfin bref, il a pas installé de bouche."

Son créateur, avait-il eut la flemme de le faire, ou avait-il été pressé de le finir? Nella ne pouvait pas se souvenir. De toute manière, qu'est-ce que cela changeait, aujourd'hui? Il n'avait pas de bouche, voilà tout. Et si il pouvait s'en procurer une, tout serait parfais. Il attendit une réaction des deux autres.