Prénom: Miedo
Nom: Carne
Âge (Maximum de 189 pour les vamp): Il avait vingt et un ans, le jour où il s’est transformé en cette chose…
Sexe: homme
Race: gneuh… je sais pas, on classe ça dans quoi, un épouvantail de chair?
Orientation Sexuelle: hétérosexuel
Plus grande peur: les corbeaux
Faiblesse Personnelle: son alcoolisme.
Chose la plus précieuse à vos yeux: tout ce qui lui appartient, étant donné qu'il n'a rien d'autre.
Clan: Je crois que ce sera l'Empire
Armes:
Une fourche toute simple. Seulement, voilà plus de trente ans qu’il la possède, et elle appartenait à quelqu’un avant lui, qui l’a eu jusqu’à sa mort. Pourtant, cette fourche toute simple est encore en très bon état. Autre particularité : les pointes sont amovibles, pour placer une lame tranchante et ainsi en faire une lance. Ah, oui. J’allais oublier de préciser, les pointes de la fourche sont rouge sang, mais pas peinturées… plutôt tachées.
Miedo possède aussi un fusil de calibre 12, dont il se sert surtout pour faire sauter des corbeaux, étant donné qu'il les déteste énormément.
Pouvoir:
Comment expliquer le pouvoir de Miedo... Bon, commençons par son fonctionnement. En fait, le pouvoir de l'épouvantail consiste à se servir de la peur pour en faire une arme. Elle peut se résumer en une simple attaque psychique, qui donne une forte migraine, ou alors transposer son pouvoir dans une arme et causer un effroi digne de ce nom à l'adversaire. Ce faisant, son pouvoir décuple la force de son attaque et fait croire à l'ennemi que la fin est proche pour lui. Cela dit, ça ne marche pas à tout les coup. Autre capacité : une volée de plumes... de fer. Cette capacité lui vient de sa peur des corbeaux.
Description Psychologique (5 lignes minimum):
Miedo n’est pas ce qu’on pourrait appeler un gentil type. Il agit pour lui-même, ne se préoccupant jamais des autres autours. Qu’il soit obligé de tuer une trentaine de personne, Miedo s’en balance. Sera-t-il capable de tous les tuer? Il s’en balance tout autant. Bref, il n’y a pas grand-chose qui dérange notre bonhomme. Il est peu sympathique avec tout le monde, puisqu’il adore être chiant. De plus, Miedo est d’une paresse sans nom. Il se demande toujours pourquoi faire quelque chose, alors que quelqu’un d’autre pourrait bien le faire. De plus, ce n’est pas celui qui demandera le combat. Mais s’il y est forcé, il le fera sans rechigner. Le truc, c’est que lorsqu’on a du mal à se tenir debout sans perchoir, on doute beaucoup de sa capacité à se battre. Néanmoins, il s’en tire pas mal, pour un épouvantail.
Miedo est aussi un alcoolique finit. Il ferait tout pour avoir sa bouteille de vin. Cependant, n’allez pas croire qu’il soit souvent ivre. L’alcool n’a presque pas d’effet sur lui. En gros, c’est un alcoolique à jeun… Et, étrange, peut-être, mais Miedo déteste les corbeaux plus que tout au monde. Il se prend un malin plaisir à les voir éclater en une volée de plume.
Description Physique (5 lignes minimum):
Miedo est d'une minceur cadavérique. Il est aussi grand, un peu plus que la moyenne de la population humaine. Le plus marquant, c'est sa peau. à certains endroits, ce n'est pas de la chair... mais bien de la paille. De la paille noire, maculé de sang caillé. Pour le reste de la peau, soit elle est blanchatre, ou noire à cause de trace de sang. Sur sa bouche, il y a des cicatrices, surtout au lèvres, ce qui, de loin, peut ressembler à des coutures. Ses yeux ont une teinte de rouge très foncé, presque brun. Les doigts de Miedo sont long, efilés, comme s'il pourrait les planter dans la chair des gens.
Pour ce qui est des vêtements, Miedo porte une chemise de fermier rouge rayée noir, ainsi que des pantalons foncé, percé au niveau du genou gauche. Miedo a ensuite caché ce trou avec un morceau de tissus coloré par carreaux. Il porte toujours un chapeau de paille noire sur sa tête, qui cache ses yeux. Pour ce qui est des bottes, elles sont munis de semelle de cuir très solide et d'une pointe en acier.
Hobbies: Boire, butter des corbeaux.
Côté (bon ou mauvais): Mauvais.
Histoire du Personnage (10 lignes minimum):
Miedo ne portait pas ce nom à l'époque. En fait, c'est les gens de son village qui se sont mis à l'appeller ainsi après ce qui lui est arrivé. Que c'est-il passé, au fait? Miedo ne garde que de sombre souvenirs de ce moment.
Plus jeune, Miedo travaillait dans une ferme. Seulement, il le faisait pour amasser de l'argent. Il détestait plus que tout la ferme. pourchasser les oiseaux dans les champs puisque son patron n'avait pas d'épouvantail était une chose des plus agaçante. Seulement, Miedo ne devait pas uniquement faire ça. Il devait entre autre étendre le fumier dans les champs, laver chacun des animaux de la ferme, nettoyer l'étable au grand complet, donner à manger au vaches. Bref, son patron n'y allait pas de tout repos avec lui. Miedo ne l'aimait pas. Pas parce qu'il le faisait travailler de la sorte, puisqu'il le payait bien. Non, quelque chose dans le regard de l'homme, sa façon d'agir. Pour Miedo, c'était un sadique, rien de plus. Un soir, Miedo était entré dans la grange et avait vu son patron en train d'égorger un veau. S'il se serait arrêté là, ça aurait passé. Seulement, il se mit à déchiqueter chacune des parties du corps de la bête. Le plus troublant de tout ça, c'était qu'il rigolait sans cèsse tel le pire des imbéciles.
Une autre fois, Miedo harcelait son patron pour qu'il prenne un épouvantail. La réponse de celui-ci fut :
"Tu veux un épouvantail? Alors vas me chercher un de ces petits morveux qui court partout, je te le clouerai à une croix et tu iras la porter dans le champs!"
Miedo n'avait même pas répliqué. La nuit, il avait presqu'eut peur que son patron vienne le chercher pour faire de lui son épouvantail.
Puis, un soir, la ferme brûla en entier. Bêtes, champs, étable, grange, tout partit en cendres, sauf une croix. Le vieil homme sombrait dans une démence qui effraya encore plus Miedo. Puis, un soir, Le patron croisa Miedo. Tout simplement, le vieux lui frappa sur la tête avec une pelle pour l'assomer. Puis, ce que craignait Miedo arriva.
Il se réveilla avec des clous au poignets et au chevilles, attaché avec des fils de fer, avec certains bout de peau manquant, couvert de paille rouge. Miedo vit alors son patron devant lui qui le regardait en rigolant.
" Non mais vous faites quoi là?!?"
"Eh ben, c'est toi qui voulait un épouvantail. T'es content, là?"
Le patron se mit à rire encore plus. puis, il partit, laissant Miedo agoniser. Après deux journées entières, le cauchemar commença. Il avait faim, soif, et par dessus tout, froid. Mais ce jour là, il aurait préféré mourir plus tôt. Il vit d'énorme corbeau voler au dessus du champs. Ceux-ci se mirent à descendre en direction de Miedo. La première attaque d'un corbeau fut portée à l'oeil droit de Miedo, qui éclata à cause de la force donné par le coup de bec. Miedo hurla de douleur. Il ne se doutait pas, alors, que ce n'était que la première frappe.
Miraculeusement, Miedo survécu. Il faut croire que les corbeaux aimaient s'amuser avec lui, puisque certain lui apportait de la nourriture, certain apportait même des contenants d'eau, mais plus souvent, de vin. Puis, après trois mois de torture, Le corps de Miedo se mit à changer. L'épouvantail n'a aucune idée comment, ni pourquoi, mais il a retrouvé la vu grâce à deux globe rouge sang qu'il se met dans les orbites. Dans son village, on croyait que c'était les corbeaux qui les lui avait donné. Sa peau se mit à faire entrer la paille dans son organisme, puis... il devint ce qu'il est aujourd'hui. Un épouvantail de chair. Il se décrocha de sa croix et partit en direction des ruines de la ferme. Il y trouva d'abord une fourche, puis, une lame de fer en bon état. Miedo partit ensuite vers la maison de son ancien patron. Inutile d'y décrire la scène. Mais les villageois entendirent tous les cris d'horreur et de douleur du vieux. Partout dans cet endroit, on finit par dire que la Miedo (peur) tuait ceux qui la ressentaient. Ce n'était pas si éloigné de la vérité.
Peu après, partout dans le village on signalait des morts. Jusqu'à ce que tout le monde ait déserté, Miedo finit par trouver un fusil qu'il conserva. Sa tâche principale : tuer les salaud de corbeaux qui lui avait fait subir ces tourments.
Comme il n'y avait plus personne dans la ville avec qui s'amuser, Miedo se dit qu'il devrait peut-être songer à partir, ce qu'il fit très rapidement. Puis, l'épouvantail se mit à perdre la mémoire concernant sa vie lorsqu'il était humain. Il était définitivement devenu Miedo Carne, l'épouvantail fait de chair.
Ou avez-vous connu le forum?:
double compte.
Ven 19 Mar - 22:45
