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 Le début d'une légende

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Vesh keat
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MessageSujet: Le début d'une légende   Le début d'une légende Icon_minitimeLun 30 Nov - 0:11

En arrivant près de la porte de la base militophique, pestant contre cette soudaine tombée de neige, un soldat se dépêchait d'aller à son poste, impatient de retrouver la chaleur d'un bâtiment et aussi parce que la neige l'avait dangereusement retardé, et le retard qu'il allait avoir pour son quart de travail lui nuirait surement beaucoup dans la promotion qu'il comptait obtenir. Alors, il vit un étrange enveloppe sur le seuil de la porte. Dessus, de l'encre violet formaient les mots «À Arthur, commandant en second des militophiques, de la part d'un ami.» Méfiant de nature, il prit le paquet lentement, le portai à son oreille, de manière à entendre un bruit suspect pour pouvoir lui donner un prétexte pour l'ouvrir. Malheureusement, rien ne vint nourrir sa paranoïa.

" Eh merde, je fais quoi moi? Si je ne l'emmène pas à l'intérieur et que c'est important, je vais me faire engueuler. Mais si c'est une bombe ou quelque chose de nul dans le genre, je suis fait. Oh et puis merde, le détecteur de métal de l'entrée va s'occuper de l'hypothèse de la bombe."

Il entra, remarqua que le détecteur ne bippa pas. Il regarda autour de lui. Comme à l'habitude, tout était en ordre dans le Hall. Les secrétaires, "toujours aussi sexy" nota-t-il, étaient à leur poste, et l'une d'elles, le remarquant, lui fi signe qu'il était en retard et qu'il devrait rapidement aller à son poste. Mais tout d'abord, il devait remettre l'enveloppe. Il chercha des yeux un supérieur, bien décidé à déléguer cette tâche. Il remarque Lierbag et se précipita vers lui en disant :

"Général-major Atsissac! J'ai trouvé ce paquet devant la porte en arrivant pour mon quart. C'est adressé au commandant en second, mais il n'y a pas de nom d'envoyeur. C'est d'un ami, à ce qui est écris sur l'enveloppe. Ooops"

Pris d'un soudain accès de maladresse, le soldat échappa le livre par terre. Dans un sursaut, tenant plus de l'envie de satisfaire sa curiosité que de maladresse, il posa le pied sur le paquet, et déchira le papier brun si fragile et affaibli par l'eau de la neige. Alors, sous ses yeux, se dévoila une étrange objet, à l'allure hétéroclite et ancien qui semblait un critère sur le choix des possessions du général en second. Devant lui se trouvait un livre, à la couverture d'un noir digne des plus sombres nuits sans lunes surmonté d'un symbole semblant dater d'un autre âge, sertie de nombreux rubis et autres pierres précieuses. Bizarrement, le volume ne contrastait pas avec le bastion de technologie où il se trouvait. Il s'y harmonisait bien, presque scintillant sur le plancher de marbre blanc. Alors, saisi d'une curiosité quasiment insatiable, il commit une erreur fatidique, celle qui causa sa mort; il m'ouvrit.

J'attendais ce moment depuis 12664 histoires. Alors
que mon histoire finnissait, je vis le fabuleux portail vers votre monde. Je bondit sur Onyx, chevauchai vers cette porte salvatrice, dégainant une lame de démence, aussitot remplacé par une nouvelle dans le fourreau. Alors, en sortant, je vis celui qui avait ouvert le livre, qui m'avait libéré. Mue par une rage que je ne pouvait controler, surment du à la torture mentale que j'avai subi, et à l'interminable attente de ce jour, je plongeai ma lame dans son corp, signe d'avertissement à tout ceux voulant prendre possession de ma personne, souhaitant que personne n'ait la présence d'esprit de fermer le livre. Alors, mon attention fut capté par la seule personne n'étant pas paniqué par la vue d'une meurtrière d'un autre âge, à cheval sur un destrier noir.


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MessageSujet: Re: Le début d'une légende   Le début d'une légende Icon_minitimeLun 30 Nov - 0:56

Lierbag était venu a la demande de la secrétaire qui avais l'avais demander. Un colis pour Arthur était a la porte. Il alla a la reception d'un pas normal. Il était en uniforme ce combat standar. Il avait mit son berret rouge vin et ses lunette de vision. Il avait aussi sa vest de combat tactique Ciras fait par Eagle industries. Sur l'avant de la vest, en haut, il y avait ce qu'on appellait un "admin panel". CE dernier comportait le nom de famille du porteur, un drapeau (ici celui des militopique) et une incigne d'unité (Ici la tête de mort avec des dent de sabre serti d'un glève qui est l'incigne de la garde impériale). En dessous de l'admin panel, il y avait 10 porte chargeur ITW FastMag Gen III. Chacun contenait un chageur de 30 coups. les porte chargeur était empiler par groupe de deux et formait un rand a lavant de la vest; un sur la droite du panau central, deux sur le paneau et deux sur le coté gauche. de plus, du coté droit, il avait 3 porte chargeur pour le mk-5k. DAns le dos il y avait une poche d'idatation camelback et la radio de combat personel du général. Finalement du coté gauche, il y avait une poche utilitaire tactique et un étuit pour mètre une lampe de poche. De plus il avait prit la cinture de combat qui contenait 10 poche pour mètre les nouvelle grenade de 40 mm pour le lance de sabot a destruction structurel qu'il avait fixer sous son mk-16. Ces grenade était consut sur le principe de sabot anti-char. Cétait un pénétrateur a énergie Kinétique fait d'unuumpentium et propulsé par un chrage électromagnétique. En d'autre c'était un canon de Gauss miniaturisé mais aillent a capaciter de dommage toujour aussi élever. Son fusil mk-16 était fixer par une sangle trois point sur le devant de la vest. Lorsqu'il arriva pres de l'escalier de marbre qui dessandait dans l'entré, il entendit le bruit caratéristique d'un corps transpersé par une lame. Ce tres simpatique bruit qui fait : Fquikkkk. Puis il y eu un hurlement et des pétarade d'arme a feu. Le général déboula au aut des essacalier a la course. La scène était chaotique; les garde se fesait massacré par un être étrange sur un destrier noir. En y regardant bien, il put remarquer que c'était une femme, d’apparence une vingtaine d’années, au physique élancé et avantageux. Elle avait les cheveux violets, et les yeux mauve foncé. Ses vêtements était, à l'image de ses cheveux et de ses iris, dans des teintes de violet et de mauve. Elle vin a passer pret de lui, il lui sauta dessut et la mit au sol. Il lui mit son pied sur le sternum et mit le canon de son arme a 2 centimètre de sa tête.

"Toi, Tu ne bouge plus d'un poil c'est clair?!?!?"

Puis il regarda autour; le soldat était visiblement mort et cetain gardes mal en point. Toute les secrétaire s'étaient réfugier sous leur bureau. Lierbag détachat le foureau et le fit glisser loin de la fille. Il écarta aussi l'épée quelle tennait. Il la retourna, Lui mit une paire de menotte et l'assit violament au sol. Puis il alla voir le soldat mort. Il tenait dans ses main un livre ouver a la moitier. Il le prit dans ses maisn pourlire ce que c'était. Des bruit de pas allarmer se firent enttendre, les renfort.

"Occuper vous de tout les blesser je m'occupe de l'intruse."

Tous aubéhire au Major. Puis il sagenouilla devant la jeune femme.

" Vous ête qui et vous venez d'ou?" Fit t'il d'un ton rude et bourut.


Il se prépara a refermer le livre


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MessageSujet: Re: Le début d'une légende   Le début d'une légende Icon_minitimeMar 8 Déc - 0:03

Consciente de sa défaite, et assez intelligente pour savoir qu'il ne valait rien de se débattre, qu'il fallait attendre une occasion, elle décida que de répondre au vainqueur était la meilleure solution. Elle dit, d'un air qui se voulait farouche:

"Je me nomme Vesh keat, je viens du livre que vous tenez dans vos mains. Je suis une légende"

Tout en parlant, elle essaya d'atteindre existence, son arsenal concentré, dans l'espoir de pouvoir couper ses liens. Pour continuer de distraire, elle décida qu'il était de mise de continuer à leur donner des informations sur elle, le temps de pouvoir se libérer et rejoindre onyx. Onyx! elle n'avait pas pensé à lui. Que lui était-il arrivé? Elle contorsionna son coup et fini par le voir, ligoté tel un saucisson, au prises avec quelques soldats, qui tentaient plus de fuir ce regard qui semblait vouloir les foudroyer sur place que de s'assurer que le cheval ne causerait plus d'ennui. Puis, voyant qu'il ne pouvait plus rien faire pour m'aider, il jeta un regard vers moi, dans l'espoir apparent que je m'en sorte mieux que lui. Je n'en suis pas sur, mais je cru déceler de l'amusement dans son regard. Je me dit : "Toi, tu va me le payer quand je vais m'être sortie d'ici". Puis, je revins à ma propre situation. Je me rappelai de ma tentative de briser mes liens à l'aide de l'une des lames secrètes d'existence. J'agrippai l'une des extrémités, et sorti une des dagues que compostait les bâtons extérieurs. Alors, je tentai de couper la corde, pour m'apercevoir que c'était du métal. Rageant contre cette époque apparemment futuriste, j'entrepris de cisailler mes entraves, tout en continuant à satisfaire la curiosité de mon homologue:

" Je sais que cela semble saugrenue, mais si l'idée que cette histoire soit montée de toute pièce, demandez-vous ceci: Comment aurais-je pu entrer dans cette base qui d'après moi doit être fortifiée jusque dans ses fondations, moi, une banale fille surement folle à lié pour m'attaquer à une bâtiment tel que celui-ci avec pour seules armes deux épées? Comment aurais-je pu entrer, si ce n'est par ce livre que votre stupide homme de main à jugé bon d'ouvrir? Je ne vous veux aucun mal, je souhaite seulement gagner ma liberté, mais pour cela, celui qui avait ouvert le livre devait mourir."

C'est alors que l'attache céda dans un bruit qui me fit frissonner d'horreur, pensant que je serait découverte, et de plaisir, car une nouvelle chance de gagner sa liberté s'offrait à moi. Malheureusement, le soldat réagit plus vite que je ne l'escomptai.


Dernière édition par Vesh keat le Mar 8 Déc - 18:17, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Le début d'une légende   Le début d'une légende Icon_minitimeMar 8 Déc - 0:55

Lierbag était de dos a la femme. Il entendit le petit cassement de menote. Elle vint pour se lever. Lierbag se retourna vers elle.

" Non non, Vesh. On reste assis." Fit lierbag tout en lui attrapnat l'épaule et en la raseillant de force.

Il attendit que la femme s'essa de bouger pour la lacher. Il voulais discuter un peut.

"Maintenent on peut discuter toi et moi. Alors si je comprend bien... Tu vien de se livre et eu... tu me dit que tu tue celui qui ouvre ton livre... Pas joyeux joyeux comme truc. Alors, merde qu'es tu pour de vrai."fit lierbag argneux

Elle ne répondit pas, il était peutètre temp d'utiliser une autre manière. Il la prit violament par l'épaule et prit le livre de l'autre main tout en le ferment. Puis l'impensable se produisit, le cheval et la fille disparurent. Un déclique se fit dans sa tête. Il ammena le livre dans une céluleutiliser pour contenir un vampire, attacha une ficèle a la couverture, ferma et barra la porte et tira sur la ficèle de l'extérieur de la célule. Lorsqu'elle réaparut il l'appostropha.

"Alors on va se calmer et on va discuter entre adulte... Je ne te veut aucun mal, tout ce que je veut c'est savoir ce que tu est et ce que tu fait ici. Tu a tuer un soldat donc atten toi a te faire maltraiter une peut. Aussi, j'oubliait; n'essait pas de me tuer, tu le regretterait amèrement. Alors si on palait un peut de toi; madame la livromaniaque."
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MessageSujet: Re: Le début d'une légende   Le début d'une légende Icon_minitimeMar 8 Déc - 16:35

En accord avec mon angoisse, le bruit fit mouche dans
l’oreille aguerrie du combattant. Par réflexe, je me préparai à parer l’attaque
dans mon dos. Au moment ou les impulsions électriques créé par cette décision
de mon centre de réflexe rejoignaient mon cortex, et que je me rappelais que ce
serait surement des coups de feu, une main se posa sur mon épaule,
m’interdisant toute fuite par la force comparable à un étau qui me maintenait
au sol. Je tentai de me dégager, mais sans succès, et je su qu’une nouvelle
opportunité comme celle que j’avais banalement manqué ne se reproduirait pas
avant longtemps. Je mis donc de coté tout plan d’échappatoire qui me vint en
tête pour plus tard et me concentrai sur mon environnement. C’était une grande
pièce à des années-lumière de la technologie
moyen-âgeuse de mon univers quotidien. Je compris que si je
voulais me sortir de ce mauvais pas, je devais utiliser mon environnement, et
utiliser mon arme innée, mon intelligence. Je vis un grand bureau avec,
posé sur celui-ci, des plaques
rectangulaires d’un matériau que je ne connaissais pas, et l’une des grandes
faces changeais sans arrêt d’image, comme une fenêtre sur une autre réalité.
Quelques chaises alignées sur les deux murs nus qui se faisaient face complétaient
le maigre mobilier de ce qui semblait être un grand hall. Puis mon regard se
posa sur les occupants de la pièce. Tout d’abord, il y avait des femmes,
recroquevillées de peur sous des chaises, et, je le devinai aux murmures
paniqués que j’entendais, derrière le grand bureau. Puis, mon regard se tourna
vers d’autres femmes, plus musclées et imposantes, et des hommes portant ces
petit objet qui se tenaient dans une main et qui tiraient des projectiles a des
vitesses telles que j’avais du mal à prévoir leur trajectoire, et des uniformes
presque tous identiques, parfois certains avaient des machines dans leurs dos
ou des insignes différents. À en juger par leur carrure, leur musculature
développée et leur armes, j’en déduis que c’était les soldats de l’endroit.
Fait étonnant, aucun ne portait d’armure. Bizarre qu’en ce monde de technologie
si avancée, l’art de se protéger sois tombé si bas. Puis, finalement, mon
regard se porta sur celui qui semblait être le chef, celui qui m’avait vaincue
par surprise. Son objet cracheur de projectiles, beaucoup plus gros que ceux
des autres, était toujours accroché, sur son torse donc il ne l’avait surement
pas dégainé, croyant surement qu’il n’en aurait pas besoin, avec plusieurs de
petits objets qui semblaient assez dangereux. Il était plus grand et plus
musclé que les autres, et dans son regard, on voyait l’expérience des combats,
et un désir de vengeance immense. Me maintenant au sol de sa force quasiment
surhumaine, il me dit de la même voix dure que tout à l’heure :


" Non non, Vesh. On reste assis."

Comprenant que je ne pouvais rien faire dans l’immédiat, je
me calmai et lui offrit toute mon attention. Il dit :


"Maintenent on peut discuter
toi et moi. Alors si je comprend bien... Tu vien de se livre et eu... tu me dit
que tu tue celui qui ouvre ton livre... Pas joyeux joyeux comme truc. Alors,
merde qu'es tu pour de vrai."


Je ne trouvais pas l’intérêt de lui répondre, aussi
décidais-je de me taire et de laisser évoluer la situation. Il le prit surement
mal, car il laissa son attention se diriger vers le livre avec une moue
mécontente. Alors, une terreur m’envahit ; Et s’il savait qu’il lui
suffisait de fermer le livre pour me bannir de ce plan ? Non, il ne le
pouvait pas. Premièrement, en principe, aucune légende n’avait foulé le sol de
ce monde avant moi. Deuxièmement, son scepticisme face à mes origines
confirmait qu’il ne comprenait pas ce que j’étais. Malheureusement, par chance,
en connaissance de cause ou par essai, peu importait, il pris violemment le
livre et le ferma. Je me retrouvai dans mon monde et j’éprouvai une grande
panique et une grande peine. Après avoir gouté à la liberté et au calme du
monde extérieur, je pleurai devant tous les personnages, me croyant forcée à être
prisonnière en de monde pour toujours, car tous mes autres portes d’accès aux
autres monde avaient fermées du au fait de l’activation de celle du monde que j’avais visité. Alors, je vi une chose que je cru impossible sur le moment, tel un méandre de mon esprit venu me torturer: Le portail était de nouveau ouvert. Je m'y ^récipitai, espérant que cette apparition soit vraie. Et elle l'était. Je me retrouvai dans une cellule de verre, et après quelque coups je la jugeai incassable, même avec mes armes. Le chef, toujours la dans ce nouveau monde on dirait, me demanda:


"Alors on va se calmer et on va discuter entre
adulte... Je ne te veut aucun mal, tout ce que je veut c'est savoir ce
que tu est et ce que tu fait ici. Tu a tuer un soldat donc atten toi a
te faire maltraiter une peut. Aussi, j'oubliait; n'essait pas de me
tuer, tu le regretterait amèrement. Alors si on palait un peut de toi;
madame la livromaniaque."


Indignée par ces allégations et cet étrange mais néanmoins stupide je me préparais à une réplique cinglante, lorsque je compris qu'il pouvait me renvoyer dans mon monde quand il le voulait, et ce fut la première erreur que je commis en ce monde. Je lui dit d'une voix qui trahissait surement mes sentiments de peur et de panique :

"D'accord, je consens à vous parler, mais ne refermez pas le livre."


Puis, m'apercevant de l'erreur et tentai tant bien que mal de la corriger, mais je savais que le mal était déjà fait:

"Parce que sinon, je ne pourrais plus vous divulguer d'Information. Je suis ici pour acquérir ma liberté. Voyez-vous, depuis des millénaires, je suis enfermée dans ce livre. Lorsque la clé est lue par quelqu'un, il devient automatiquement mon maitre. Donc, je n'ai pas eu le choix de le tuer, car je tenait absolument à ma liberté nouvellement acquise. Lorsque le livre est ouvert, je suis dans votre monde. Lorsqu'il est fermé, je suis dans le mien. C'est plus compliqué que ça, mais je doute que je pourrais l'expliquer, malgré toutes mes facultés de vulgarisation, à quelqu'un qui ne puis insulter que par une déformation de deux mots en un seul, et de plus est, le fait d'apposer le préfixe livro veux dire qu'un mot à attrait au livres. Donc, votre nouveau mot veux dire maniaque des livres, et, dans le sens ou vous l'entendez, tueuse de livre, ce qui est totalement faux, puisque je ne tue que par nécessité, et jamais des livres. Alors amenez-moi quelqu'un de haut placé dans la hiérarchie de ce complexe et qui soit vraiment intelligent avec qui je pourrais négocier".


La dernière partie où je l'insultait me sembla un peu trop forte, au risque de provoquer sa colère, mais j'espérais avoir suffisamment touché son amour propre pour qu'il réagisse et fasse venir quelqu'un d'autre, en espérant qu ce nouvel opposant n'aurait pas eu vent de ma faiblesse, et de plus, ce passage me redonnait contenance face à mon adversaire et rendait moins plausible l'hypothèse que je l'ai supplié de ne pas refermer le livre. Espérant que mon bluff réussisse, je me suis assis et j'ai attendu une réponse.
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MessageSujet: Re: Le début d'une légende   Le début d'une légende Icon_minitimeMar 8 Déc - 19:57

" ET bien malheureusement pour toi, je suis le seule haut gradé présent en cette merveilleuse journée. Donc il te faudra parler avec moi. Aillant vu que tu était de bonne fois masi un peu sarcastique dans tes formulation de phrases, je concent a te libérer.... Mais bien sure il te fadra faire un gros effort; devenir une militopique. A tout les point de vue, tu est le model type de ce que nous cherchont. Et de plus, je pourait meme m'arranger pour que le livre soit placer en sécuriter bien a l'abrit sous un systeme complet que simplement ten expliquer la nature men prendrait des année... Alors je peut te faire confiance?"

Lorsqu'elle répondit par l'affirmative, Lierbag appuilla sur un bouton qui fit ouvrire la commande d'ouverture de la porte. Il entra son code personelle et fit scanner son iris. Il y eu dépresurisation du système Hydrolique. La porte souvra enfin. Le Major-Général attendit que la jeune femme ait ramasser le livre et lui demanda de le suivre. Ils sortirent du QG et ce dirigère vers une rangé de véhicule. Lierbag monta dans son DUMVEE; sorte de Humvee mais étant costumiser pour les force spéciale. Il fit monté Vesh du côté passager, mit le contacte et enbreilla. Il fit un demi-tour dans la neige fraichement tomber puis partit a toute vitesse vers le fond de la base. Chemin fesant, il expliquait a la jeune femme quel était tel ou tel building. Finalement ils arrivèrent devant une grosse batisse octogonale, le QG de la garde impériale. Lierbag entra dans les garages. Il fit son code de sécutiter a la guérite.

Nom: Maj-Gén L. Atsissac
Password: **********************

La grille et le mitrailleuse sécartère et les laissèrent entré. Un fois arriver et le véhicule stationer; lierbag dessendit avec la dame au 8e sous sol. Il ouvrit une sérit de porte toute plus sécuriser que d'autre.Filament il débouchat dans une pièce entièremtn noir. Ceule une stèle d'acier inoxidable tronait dans le milieux de la pièce. Une vitre cenblable a celle de la célule recouvrai le paln de lecture. Cette stèle avait cervit, au court des année a concerver diver document tous plus important les un que les autres. Il prit le livre toujour ouvert, dévérouilla la st`le et y incéra le livre, puis la revérouilla.

" Vous voiller vous êtes en liberté maintenant. Mais votre maitre est aussi des l'ore les forces militopiques. Vous devrer leur obéhire au doit et a l'oeil sinon, sans scrupule aucun je viendrer fermer ce livre et je le laisserait vérouiller dans cet état, êces claire??"
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MessageSujet: Re: Le début d'une légende   Le début d'une légende Icon_minitimeMar 8 Déc - 21:43

Je regardai autour de moi, émerveillée de voir tant de merveilles d'un temps nouveau. Il me restait tant à apprendre sur mon nouveau monde. Je regardais les batiments quand je vis une bâtiment qui me semblait la plus grande forteresse de tout les temps. Je n'imaginais même pas ce qu'elle défendait, les trésors qui sommeillaient en ses catacombes. Alors, mon nouveau maitre nous fit entrer en cette véritable arme de pierre et de métal. Alors, nous descendîmes en ses tréfond, et nous accédèrent à une cave, ou il enferma mon livre. Cette nouvelle en apportait deux autres. La bonne, c'était que mon accès en ce monde semblait scéllé en ce monde. La mauvaise, c'est que ma liberté semblait compromise à jamais. Pendant que j'élaborais des plan pour remettre la main sur mon livre, sur moi-même en fait, l'homme qui s'était assuré ma parfaite coopération dit de sa voix étonnement grave:

" Vous voiller vous êtes en liberté maintenant.
Mais votre maitre est aussi des l'ore les forces militopiques. Vous
devrer leur obéhire au doit et a l'oeil sinon, sans scrupule aucun je
viendrer fermer ce livre et je le laisserait vérouiller dans cet état,
êces claire??"


Je notai plusieurs fautes de grammaire que je ne pris pas la peine d'exprimer. Alors, je lui répondis:

"Si vous êtes mes alliés, qui sont les ennemis? Toutes ces barricades, ces armes tirant des projectiles qui protègent ce complexe, qui soit-dit en passant est extrêmement faible à certains endroits, et qui ne doit pas être le seuls de ce monde? Qu'est-ce qui vous terrifie vous, la grande puissance du futur, avec vos armes si perfectionnées, et qui selon tes dires, semblent si supérieures à celles du reste de la planète, au point de vous terrer dans ces blocs de pierres, dans le noir, en postant des hommes à l'extérieur comme pour tenter de donner une proie à vos prédateurs le temps que les nobles s'enfuient?

Tout en posant cette question, mon attention fut saisi par l'objet de ma plus grande curiosité en ce monde: ces petits objet lançant des projectiles à une vitesse hallucinantes. à ce que j'en avait vu, il existait 3 modèles. Les petit, comme ceux des gardes du batiment que j'avais attaqué, les moyens, comme celui de l'homme qui m'avait enrolé à mon corp défendant, et finalement les gros, qui semblaient si lourds qu'il fallait les mettre sur des pieu enfoncés dans la terre. Souhaitant disséquer ces inventions pour en tirer le plus de savoir possible, je demandai:

"Et est-ce qu'un jour, je pourrai avoir quelques-un de ces armes à projectiles ultra-rapides? Elles semblent très amusantes"

Tout en formulant cette demande, j'essayais d'arborer un air à la fois charmeur, pour l'enjôler et le mettre sous ma coupe, et sadique, puisqu'il semblait apprécier les personnes de ce type. Il sembla apprécier, malheureusement je n'eut aucun moyen de savoir quel partie de ma réaction, car sur son visage se dessina ce qui semblait être une maigre tentative de sourire.
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MessageSujet: Re: Le début d'une légende   Le début d'une légende Icon_minitimeMar 8 Déc - 23:45

Lierbag sourit faiblement puis reprit d'un air sombre.

" Nos ennemie comme tu les apelles son des ombres, des sous homme a la force décuplé et aillant une des pires dépandance que cette terre n'ait jamais connu. Ce sont des sang froid des êtres de légende qui tue notre race et qui essaillent de nous terroriser en vein. Nos fortification serve a protèger les non combatant et pas nous. J'ai moi meme plus de 25 ans de service. Le être de l'ombre, je les conais. Il yen même certain qu'on voit plus souvent que d'autre et eu; il son plus dangereux. Je vais te former a devenir toi meme une arme. Et oui tu pourras a un sertain point de ton entreinement utiliser les arme a feu et les arme a énergie. À partir de maintennt ne me concidère pas comme ton maitre mais bien comme ton mantor. Je vais tacher de t'apprendre tout ce que je sais et te rendre plus apte a faire face au créature qui someille au dehor. Vien je vais te montrer tes cartier "

Il fit le chemain contraire et remonta a bord de son Dumvee et fit route vers les batiment d'entrainement. Tout en fesant route il expliquat le systeme militaire.

" Ici, en fait meme partout il subsite des humain, le grand maitre de tous est Raviel Uria. Il est le chef de la race humaine et aussi le seule qui peut batre le chef des créature de la nuit. Ce dernier se nomme Shadow et comme tu a du le comprendre c'est un vampire. Les créature son diverse mais la grande majoriter son des vampire ou des hybride vampirique. Il ya aussi de Lycan qui son des polymorphe et que son des humanoïde changent de forme et il ya les autre. C'est tous ces truc que nous protègeon la race humain en exterminat systèmatiquement toue les créature. Voila en gros ce ques la mission principale des militopique. Il ne me reste qu'une chose a faire."

Lierbag prit un auto injecteur et le planta dans le coté du coup de Vesh ne lu causent qu'une brève surprise. C'était un puissant tranquilisent avec une chose secrète mise au point par les militopique. Il conduisit jusqu'au centre d'entreinement et prit vesh dans ses bras et la coucaht dans un des Dojo. Les lesson pouvait commancer.
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Vesh keat
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MessageSujet: Re: Le début d'une légende   Le début d'une légende Icon_minitimeMer 9 Déc - 22:47

Le tranquillisant ne fit effet qu'une petite heure. Lorsque je me
réveillé, j'étais dans une grande sale. Je me dit que c'était surement
une salle d'entrainement, compte tenu du titre de mentor dont mon
maitre s'était affublé. Je compris donc qu'un entrainement intensif ne
saurait tardé. La sale, complètement nue à par quelque appareils qui
m'étaient inconnus , avait des murs gris, était très haute de plafond.
Le sol était recouvert d'un matelas mince bleu gigantesque, surement
destiné à des entrainements au corps à corps. Je me levai et regardai
le soldat, qui avait enlevé son attirail de combat, celui-ci trainant
dans un coin à l'autre bout de la pièce et ne portait plus maintenant
qu'une camisole kaki et des pantalons. Apparemment, il était fin prêts
depuis un bon moment. Et à voir son regard, cela n'allait pas être une
partie de plaisir. Pour m'accorder quelque minutes de répit, histoire
de reprendre pleinement mes capacités, je lui dit, d'une voix endormie
servant à lui faire croire que le tranquillisant faisait encore effet:


" Alors, avec vos armes si sophistiqués, vous combattez les vampires.
Ce n'est pas avec ds torches à rayon U.V et des pieux qu'on est censé
s'y prendre? Excusez mon incrédulité, mais je viens d'un monde
moyen-âgeux. Donc la technologie et moi ça fait deux. Et si vous
commenciez par me démontrer comment fonctionnent vos machines de guerres portatives s'il vous plait? Elles ont l'air assez intéressantes"

*Pourvus qu'il accepte, ce tranquillisant m'a assommé. Et comme il semble être un fan de ces armes, s'il se lance dans des explications, ravivés par quelques question de ma part, me donneront le temps de récupérer.*
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Lierbag Atsissac
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MessageSujet: Re: Le début d'une légende   Le début d'une légende Icon_minitimeLun 14 Déc - 21:28

Lierbag tappa deux fois des main et quatre étagère sortairent du sol. Chacun était certi d'arme en tout genre. Lierbag sapprochat d'un des étagère et prit une arme. C,était un vieux fusil d'assaut C8a1.

"La carabine C8 est un membre de la famille C7, et est mécaniquement et esthétiquement très semblable à la Colt 653. Colt a fait la C8S initiale des Forces canadiennes en tant que modèle Colt 725. Le C8 dispose d'un canon de 14,5 pouces profile A1 comme le modèle Colt M16A1 carabine 653, mais avec un 1 / 7 Twist spoliation appropriées pour la cartouche de l'OTAN 5.56x45mm C77. Le C8 intègre les améliorations de la conception en vedette au fusil C7 . Le concept améliorée C8A1 (Diemaco C8FT) est essentiellement le même que le C7A1, juste sous forme de carabine. Le plan d'ensemble de l'arme reste essentiellement inchangée, sauf pour le récepteur supérieur et l'inclusion générale du syteme de viser C79. Les C8A1 ont également été plus souvent rencontrés avec la poignée détachable vues sur les A1 développés par Diemaco a la fois pour le C7FT et le C8FT. Construite sur le C8 et C8A1, Diemaco, a créé l'arme des forces spéciales (SFW), qui offre une combinaison intéressante d'idées . Disposant d'un canon plus longue, 16-inch , d'un profil plus lourd que le C8/A1, le SFW a été conçu pour fournir une capacité d'appui-feu sous forme de carabine. Le profil du canon n'est pas uniforme, bizarrement bombé à la fin, alors que les étapes profil canon M4 sont vers le bas. La base de guidon est renforcé pour le montage possible d'un Heckler & Koch AG-C/EGLM lance-grenades. Le ministère britannique de la Défense a acquis un certain nombre de SFWs, principalement pour les forces spéciales, en leur donnant de la désignation L119A1. Cette version de la C8 est également en service à la MJK norvégien et HJK. En raison du profil de canon, un autre Diemaco spécifiques est tenu de joindre le lance-grenades M203 (bien que le ministère de la Défense ont décidé d'utiliser la AG-C/L17A1 HK). L'Inquiétudes que Princess Patricia's Canadian Light Infantry a eu avec la C8 conduit à la création de la C8FTHB. Le C8FTHB (Flat Top Heavy Barrel) offre de nombreuses améliorations au cours de la C8, y compris un profil de canon forgé aux marteau lourd et Elcan C79 optique Sight. Resament Diemaco, a commencé à produire trois variantes C8 supplémentaires. Le C8CQB similaire au MK 18 Mod 0 CQBR, ayant un canon de 10 pouces et d'un suppresseur de flash Vortex. Le Diemaco Personal Defense Weapon (PDW) est encore plus compact d'une longueur de 20,7 pouces avec une stock entièrement rentrés. Il a un canon de 5,7 pouces et l'extension du récepteur a été raccourcie de 1,65 pouces. Ces arme sont les première que j'ai utiliser a mon entré dans la vie militaire. Elles sont ce qu'on apelle de nos jour une arme a feu... Elles fonction par un systeme complexe. Une cartouche se trouvant dans le chargeur..."

Lierbag enleva le chargeur et montra les cartouche a VEsh puis remis le chageur.

"... est acheminer dans la chambre de mise a feu, lierbag arma l'arme, et lorsque que l'on pe`se sur la détante, Lierbag visa un cible 350 mètre plus loin, et bien le coup part; comme ceci."

Lierbag visa dans le viseur Elcan c79A2, il prit deux bonne repiration et garda la dernière. Puis il apuilla deux foit rapidement sur la gachette. L'arme trésauta a peine. Deux son d'impacte se firent entendre quelque micro seconde apres les coup de feu. Deux tire mortel.

" Va y; choisi toi une arme et je taprendrait a ten servire."

[ pour tout ceux qui me diron que j'ai copier sur Wikipedia; bin non jai prit mes notes de cours militaire pour faire ce post. Le C-8 est mon bébé dans le vrai monde...]
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MessageSujet: Re: Le début d'une légende   Le début d'une légende Icon_minitimeMar 15 Déc - 19:55

[Et je suis censé comprendre ca moi?]

Vesh regarda tout ces engins se dessiner sous ses yeux éblouis. Elle s'avance vers une étagère, et son regard s'attarda à une arme qui semblait ressembler à l'arme que l'officier arborait fièrement, heureux de démontrer son savoir-faire. Après avoir noté un certain coté imbu de soi-même surement causé par le fait qu'il se sentait supérieur de par sa connaissance des fusils, je me prit cette arme, et l'examinai de plus près. Une inscription se trouvait sur la poignée. Ak-4775 Opart. Elle était assez légère et étrangement belle, et je décidai donc de l'essayer, pour savoir si elle me convenait. J'ai commencé à tirer vers une cible, mais le coup donné par les tirs furent beacoup plus fort que ce que j'avais anticipé en me bsant sur la démonstration que m'avait donné l'homme. La surprise plus que le choc me fit échapper l'arme, et les quelque projectiles que je pu projeter allèrent s'échouer sur le mur, a plusieur mètres de la cibles, ne manquant pas de déclencher l'hilarité de mon tuteur. Blessé dans mon orgueil, je le fusillai du regard, et, replaçant l'arme où je l'avait trouvé. Puis, je choisi une arme où il n'y avait pas de deuxième poignée, que l'officier appelait chargeur, sur une étagère ou il était marqué «shotgun». Le résultat fut le même qu'avec le fusil précédent, mais multiplié par cent. Cette fois, le fusil s'envola et fit un bond de plusieurs mètres. Je me tournai vers le soldat hilare et lui dit:

-Au lieu de rire de moi, vous ne pourriez pas me montrer une arme qui ne donne pas un aussi grand coup à chaque détonation? C'est qu'il va me falloir du temps pour m'y habituer.


Remettant l'arme à sa place sur le raque , j'attendis qu'il me donne une réponse, ce qu'il ne manquerait surement pas de faire quand il aurai cessé de rire.
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MessageSujet: Re: Le début d'une légende   Le début d'une légende Icon_minitimeVen 18 Déc - 3:04

Lierbag arca sa puissance dans sa main droite et fit venir a lui un fusil. C'était une fusil de chasse standar de calibre .22 long rifle. C'était un de calibre le plus petit existant sur terre et le plus facile a manier; de ce fait lierbag prit l'arme a une main et fit feu fesant un coup parfait ( sans meme avoir viser.). Il lui lancea l'arme.

" C,Est simple pour devenir un tireur émérite, il te faut de la stabiliter dans ton tire. Il faut que tu tienne fermement ton arme et que tu calle bien la crosse dans ton épaule. tu doit aussi ammaser le plus de gras de ta joue sur le dessus de la crosse afin de stabiliser ta tête par apport au oeillet de viser."

Il fit une démonstration complète et fit un arrait quand vint le temp de tirrer.

"Lorsque tu vindra pour tirrer essait de trouver le mou de la détante et met le au point que si tu sert juste un peut plus fort le coup par; c'est cela qui rendra ton tire préci. Et, noublie pas, prend des respiration calme et lorsque tu viendra pour tirrer garde ta respiration. "

Il mit en pratique tout son enseignement. Il fit feu. La balle alla sencastrer directement a la meme place que la balle précédante était alle s'échouer. Il lui donna l'arme et en sorti une autre d'un ratelier; un MK-36. C,était une fusil de sniper disagner pour les force militopique. C'était en résumer un M-21 converti a la technologie plasma militopique ce qui permétait de garder le confort et la versatiliter des arme a feu et la puissance des arme a énergie. En fait il avait été plus été fait pour la garde impériale. Lierbag mit une cible sur le rail porteur et la fit reculer. A 1km il arraita et fit allumer les lumière dévoilant l'étantdut réelle du dojo. C'était une vaste pièce de 5km de profond par 20m de large et par 10m de haut. Lierbag épaula et plaça le reticul de viser droit sur la tête de la cible vampirique. Il vérifia l'alignement, puis mit un chargeur de capsule d'énergie. Il arma le fusil En tirent fermement ver lui la poingner d'armenent. Un cartouche vint se placer dans la chambre. IL apuilla sur la détante. Lors de la mise a feu l'arme ne bougea meme pas et un long trait de plasma en état super crtique séchapa du canon pour filler vers la cible. Cette denière fut tranperser par la charge ce qui cectiona la cible; faite de d'un aliage de titane et d'uunmpantium. La dite cible tomba au sol dans un grand fracas.
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